Live (1981)

Live, le 9e album enregistré en public de Johnny réalisé par Eddie Vartan, sort en avril 1981.

Ce double album rompt avec les habitudes qui veulent que ses enregistrements en public soient des captations de spectacles parisiens car il est enregistré dans différents endroits au cours de la tournée – Paris le 23 mars mais aussi Chartres et Evreux les 6 et 7 mars -, d’où le titre évasif. Cette expérience est renouvelée en 2012 avec l’enregistrement public On Stage

Commencé le 2 février, le Tour 81, s’achève, 41 étapes plus tard, le 24 mars à l’Hippodrome de Pantin.

Le groupe  » Night Rider Band  » assure la première partie du tour de chant

Il marque un net retour au rock, à l’instar de son dernier opus, dont on retrouve ici cinq des dix chansons qui le composent : Deux étrangersGuerreJe peux te faire l’amourExcusez-moi de chanter encore du rock’n’rollLady Divine (ici chanté sans la censure imposée à la version studio).

Fils de personneLe FeuMa gueuleRien que huit jours, sont quelques-unes des reprises, aux orchestrations totalement renouvelées, du tour de chant.

On (re)découvre Quand ce jour viendra, chanson méconnue enregistrée par Johnny en 1963 sur l’album Les bras en croix  et jamais encore chantée sur scène. 

Si j’étais un charpentierSalut Charlie et J’ai pleuré sur ma guitare sont les rares ballades incluses.

Le show s’achève par une succession de rock’n’roll adaptés de classiques de Chuck Berry, Rien que huit joursO CaroleJohnny reviens, tout trois extraits de l’album de 1964, Johnny, reviens ! Les Rocks les plus terribles

Le puissant Deux étrangers précède le final sur Le Bon Temps du rock and roll.

De l’album Live 1981 (6622 013) est extrait le 45 tours Excusez-moi de chanter toujours du Rock And Roll – Je peux te faire l’amour (6010346)

Le Live de Bruxelles 1981

Les chansons

Guerre

Fils de personne

Lady Divine

Le Feu

Ma chérie c’est moi

Excusez-moi de chanter encore du rock and roll

Si j’étais un charpentier

La musique que j’aime

Gabrielle

Quand ce jour là viendra

Salut Charlie

J’ai pleuré sur ma guitare

Ma gueule

Je peux te faire l’amour

Rien que huit jours

O Carole

Johnny, reviens ! (Johnny B. Goode)

Deux étrangers

Le Bon Temps du rock and roll

Laisser un commentaire

Créez un site ou un blog sur WordPress.com

Retour en haut ↑